L'ouvrage d'Émile Thèvenot ne contient pas de représentations cartographiques. Le tracé de la voie via Roanne a été figuré sur une carte publiée dans la Carte archéologique de la Gaule Loire et intitulée « Limites du territoire ségusiave et principales voies et agglomérations gauloises et gallo-romaines >> (136).
(1)Dans ce contexte, "terrier" fait référence à un registre ou document détaillant les possessions foncières et les droits seigneuriaux du prieuré d'Ambierle. Ce type de document recense les terres, les redevances et autres obligations dues par les tenanciers au seigneur. Le "terrier du prieuré d'Ambierle" rédigé vers 1385 est donc un inventaire des biens et droits de ce prieuré à cette époque
133 LAVENDHOMME 1997, р. 41.
134 THEVENOT É. 1968, p. 220-225. Le fait que cette voie antique ait perduré au Moyen Âge est admis par Émile
Thèvenot mais aussi par Claude Chopelin et Jacques Quez (CHARLIEU 1973, p. 134).
Au sujet de cette voie, voir aussi:
- un article de 1933 de Ginet-Donati intitulé « La voie romaine de Roanne à Digoin », BSEB, août-septembre 1933, p. 117-118; septembre 1933, p. 115-116; janvier 1934, p. 129-130.
un article de 1973 de Joannès Odin (dans CHARLIEU 1973, p. 55-61) basé sur l'analyse de FOURNIAL 1945.
Tous deux pensent que cette voie était au Bas Moyen Âge l'un des principaux axes reliant Lyon à Paris.
- un article de 1973 de Claude Chopelin et Jacques Quez dans CHARLIEU 1973, p. 133-136.
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